Les jeunes utilisent les images quotidiennement aujourd’hui, ce qui change leurs rapports à eux-mêmes, à leur propre image, à l’image de leur corps mais aussi leurs rapports aux autres et au monde.
Les images, qui ont le statut intermédiaire entre le corps et le discours, vont permettre aux jeunes d’un côté de se réapproprier des états du corps (notamment de la rage, de l’angoisse, de la colère, de l’amertume, etc), et d’un autre côté d’avoir le désir de commencer à construire un discours.
Le Projet Pocket Films-Empathie peut être utile à ces jeunes, grâce à ce statut intermédiaire de l’image, pour passer du corps, qui ne fait pas sens ou du corps du groupe, au discours personnel subjectivant.
Les Pocket Films
